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Vidéoprotection de la voie publique : l’exemple de Conflans-Sainte-Honorine

Pionnière dans l’utilisation de la vidéoprotection de la voie publique, Conflans-Sainte-Honorine déploie actuellement la phase trois de son programme d’équipement, avec l’aide de Seine-et-Yvelines Numérique.

Premier bilan

La ville de Conflans-Sainte-Honorine a mis en œuvre depuis plus d’une décennie la vidéoprotection de la voie publique. « Lorsque j’ai été élu en 2014, sept caméras étaient déjà en place. J’ai souhaité engager une phase complémentaire qui a conduit à l’ajout de neuf caméras. Plus près de nous, en 2022, nous avons décidé d’étendre à nouveau le dispositif, avec à la clé notamment un changement de locaux pour la police municipale et l’adjonction d’une salle de visionnage adaptée à ses besoins » indique le maire de la ville, Laurent Brosse, également vice-président de la Communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise et conseiller départemental des Yvelines. « Les deux premières phases d’équipement en vidéoprotection se sont avérées concluantes pour la ville. Une fois que la phase trois sera achevée et opérationnelle, nous l’espérons d’ici fin 2024, nous pourrons dresser un bilan plus complet et envisager d’équiper, au-delà des secteurs les plus passants, d’autres endroits clés comme les installations sportives » ajoute-t-il.

Une phase trois en cours de déploiement

Aujourd’hui, la municipalité travaille avec Seine-et-Yvelines Numérique sur la phase trois du projet de modernisation de la sécurité locale, qui devrait mener à l’implantation de neuf nouvelles caméras et au renouvellement de certains équipements, afin de répondre aux défis que doit relever la ville. « À Conflans-Sainte-Honorine, il s’agit à la fois d’un enjeu de sécurité et de prévention. Et quand je dis prévention, cela ne concerne pas uniquement les faits délictueux, mais aussi le phénomène des dépôts sauvages auquel font face de plus en plus de communes » commente Laurent Brosse.

De l’intérêt de faire appel à Seine-et-Yvelines Numérique

Autant de sujets sur lesquels Seine-et-Yvelines Numérique accompagne la commune. « La valeur ajoutée principale du syndicat est, à mon sens, la réactivité : ses équipes savent se rendre disponibles et répondre rapidement à nos sollicitations. Ensuite, c’est un opérateur qui est force de proposition par rapport aux objectifs fixés par la municipalité, ce qui constitue un sérieux atout. J’ajoute à cela que leur expertise technique se révèle précieuse, une fois les zones à surveiller choisies par nos soins, pour préconiser et installer les équipements les plus pertinents » précise Laurent Brosse, qui salue enfin l’habileté de Seine-et-Yvelines Numérique à faire le lien entre les différents acteurs impliqués dans le projet.